Plusieurs plaies et fléaux sévissent en Afrique. Mais l’une des plaies, l’un des fléaux les plus destructeurs est bien la corruption.

Devrons-nous le dire ou alors devrons-nous le faire entendre? l’Afrique se noie dans la corruption et emporte avec elle son économie. L’Afrique perd ses valeurs aux profits de ceux-là qui ne savent ni ne veulent son évolution on paye pour tous et tous est monnayable de la possibilité d’accéder à de l’eau jusqu’à la nationalité tous est monnayable.

Certains ont trouvé ce super adjectifs pour appeler ses actions qui sont déjà encrée dans les hommes comme un réflexe « CORRUPTION » comme une habitude chacun y va de son goût.

Les parents négocient pour une place à l’école, l’élève négocie pour l’accès à la classe supérieur, le professeur négocie pour une affectation descente dans une ville paisible, le proviseur négocie pour garder sa place, les directeurs des ministères négocie pour nommer les directeurs et ainsi de suite. 

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Chacun l’appelle comme il peut : négociation, « tchoko », gestion, aide, poussement …etc. Tous en veillant à ce que le corrompu et le corrupteur comprenne le langage. Les billets sont sous les dossiers, sous la veste, sous la table et mène le jeu.

Un jeu ou l’avenir de nos enfants est géré comme une petite monnaie. L’Afrique se noie et son économie avec elle. Les marchés ne vont plus à qui de droit mais « à qui de poche » ; les matières premières sont détournées ; les frontières sont des tamis où tout passe. On se noie et notre économie avec.

Certains lèvent la main et sont entrain de tire l’Afrique de l’eau des mesures, des décisions, des lois mais d’autres trainent le pas et leurs économies avec. 

On le constate avec regret : Notre très chère corruption en Afrique marche avec la faiblesse économique.  Le peuple en souffre, l’État en souffre et le continent se noie. L’Afrique crie et ses enfants se passent les billets pour la tirer au fond de la mère.